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QUELQUES ACTUALITES NATIONALES CONCERNANT LES MALADIES PSYCHIQUES
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ETUDE: LE TRAITEMENT INTENSIF PRECOCE DE LA PSYCHOSE JUSTIFIE SON COUT |
28/04/2016 |
Article sélectionné par Jean-Claude
In SOMA&PSY Network
Soma&Psy – Le portail sur l'intégration des soins de santé mentale et les soins somatiques
28/04/2016
ETUDE : LE TRAITEMENT INTENSIF ET PRECOCE DE LA PSYCHOSE JUSTIFIE SON COUT
Le coût supplémentaire découlant de la mise en place d’un traitement exhaustif, interdisciplinaire et basé sur le travail en équipe pour le premier épisode de psychose (FEP) se trouve justifié par les bénéfices cliniques obtenus, selon les conclusions des auteurs d’une nouvelle analyse des coûts.
Selon son auteur principal, le Dr Robert Rosenheck, professeur de psychiatrie et de santé publique à l’Université de Yale (États-Unis), l’étude apporte la preuve rigoureuse que les avantages pour la santé sont supérieurs aux coûts supplémentaires liés à l’intervention.
Les chercheurs ont évalué la rentabilité des quatre interventions principales du programme Navigate (NAV) pour le FEP : traitement pharmacologique personnalisé, psychoéducation de la famille, thérapie individuelle et soutien à l’emploi et à l’éducation.
Les chercheurs ont utilisé trois stratégies pour évaluer la rentabilité et le rapport coûts-avantages du NAV comparé au traitement ambulatoire habituel.
La première méthode, qui a utilisé des modèles linéaires mixtes, a révélé que le NAV était plus efficace et les coûts totaux étaient plus élevés que ceux du traitement dans la population.
La deuxième méthode analytique a mis en évidence les plus grands bénéfices et coûts du NAV. Une rentabilité maximale a été constatée chez les patients avec une faible durée de psychose non traitée (DUP).
La troisième méthode, qui utilise les bénéfices nets pour la santé (NHB), a montré qu’il existait une probabilité de 0,95 que le programme NAV soit plus rentable que le traitement ambulatoire.
« Par conséquent, dans les trois analyses, le NAV s’est révélé plus efficace et plus coûteux que le traitement ambulatoire habituel, avec une plus grande rentabilité chez les utilisateurs avec une faible DUP, et quand les coûts de médicaments génériques ont été utilisés pour les antipsychotiques », ont précisé le Dr Rosenheck et ses collaborateurs.
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COMMENT EXPLIQUER L'ENTREE DANS LA PSYCHOSE ? |
27/04/1942 |
Article sélectionné par Jean-Claude
In Sante Mentale.fr Actualités
Publié le 26 Avril 2016
Article proposé en téléchargement gratuit (sources indiquées)
COMMENT EXPLIQUER L'ENTREE DANS LA PSYCHOSE ?
Une équipe de recherche de l’Université Paris Descartes, de l'Inserm et du Centre Hospitalier Sainte-Anne, sous la direction du Professeur Marie-Odile Krebs, a mis en évidence que des modifications épigénétiques accompagnent l’émergence d’un épisode psychotique dans une cohorte de jeunes personnes à risque âgées de 15 à 25 ans. Ces modifications compromettent des systèmes de réponse au stress oxydatif et à l’inflammation. Grâce à ce nouveau travail, les chercheurs apportent un nouvel éclairage à cette maladie dont la principale explication biologique reposait jusqu'alors sur des perturbations de la sécrétion de la dopamine au niveau cérébral.
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COMMENT VIVRE AVEC UN TROUBLE PSYCHIQUE ? |
19/04/2016 |
COMMENT VIVRE AVEC UN TROUBLE PSYCHIQUE ?
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SANTE MENTALE: LES JEUNES SE DISENT PRETS A EN PARLER |
19/04/201+ |
Article sélectionné par Jean-Claude
In Infirmiers.com
INFOS ET ACTUALITES
SANTE MENTALE : LES JEUNES SE DISENT PRETS A EN PARLER
06.04.16 par Gwen Hight.
Malgré ce qu'on pourrait croire, les jeunes se disent prêts à se confier sur leurs difficultés mentales.
C'est en effet ce que révèle une enquête réalisée par la Fondation Pierre Deniker du 2 au 12 février 2016.
Échanger avec eux en toute liberté les aiderait donc à soulager les troubles qu'ils ressentent de plus en plus au quotidien et de prévenir leur aggravation.
Pour accéder à l'article, cliquer sur le lien ci-dessous
http://www.infirmiers.com/ressources-infirmieres/prevention-sante/sante-mentale-jeunes-disent-prets-en-parler.html
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LOI DE MODERNISATION DE NOTRE SYSTEME DE SANTE 26 01 2016 |
15/04/2016 |
Article sélectionné par Jean-Claude
Pour ceux et celles qui souhaitent, en cas de besoin, approfondir la connaissance du contenu de la loi du 26 janvier 2016
DOSSIER DOCUMENTAIRE
Source: CALVEZ Catherine, Ecole des hautes études en santé publique, 2016, 21 p.
Cliquer ici pour télécharger le dossier : http://documentation.ehesp.fr/wp-content/uploads/2016/02/DD_LoiModernisationSant%C3%A9_201602-1.pdf
Extrait de l’introduction: “La loi s’articule autour de trois axes : la prévention, l’accès aux soins et les droits et la sécurité des patients.
Elle prévoit notamment l’expérimentation de salles de consommation de drogues à moindre risque (‘salles de shoot), la désignation d’un médecin traitant pour les enfants, l’instauration d’un logo nutritionnel sur les emballages des produits alimentaires, la mise en oeuvre du paquet de cigarettes neutre, la généralisation du tiers-payant à tous les assurés à partir du 1er janvier 2017, la refondation du dossier médical personnel, l’instauration d’une action de groupe dans le domaine de la santé.
Des modifications sont également apportées dans l’organisation régionale et territoriale du système de soins.
La loi remanie ainsi le projet régional de santé, créé par la loi HPST, en instaurant un schéma régional de santé unique (au lieu de trois précédemment) et crée des communautés professionnelles territoriales de santé qui concourent au PRS et à la structuration des parcours de santé.
Elle met également en place un dispositif d’organisation des soins spécifique à la santé mentale autour de plusieurs outils : projet territorial de santé mentale, diagnostic territorial partagé en santé mentale, contrat territorial en santé mentale…
Concernant le volet hospitalier, elle réintroduit la notion de service public hospitalier et redéfinit le fonctionnement des pôles d’activité (composition, contrat…).
Le remplacement des communautés hospitalières de territoire par des groupements hospitaliers de territoire (GHT) est également acté dans la loi ainsi que celui de la Commission des relations avec les usagers et de la qualité de la prise en charge par une Commission des usagers (CDU) dont les attributions sont élargies.... “
Pour en savoir Plus : Le Centre de droit JuriSanté du CneH propose, dans ce numéro spécial de l’écho actualités JuriSanté, un décryptage de la loi de modernisation de notre système de santé (loi du 26 janvier 2016, J.O. du 27 janvier 2016)
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SCHIZOPHRENIE: VIDEO |
13/04/2016 |
Article sélectionné par Jean-Claude
SCHIZOPHRENIE: VIDEO "LES RAISONS DE L'ESPOIR"
Emission LCI : "LES RENDEZ-VOUS SANTE" (avec la participation de l'Association FONDAMENTAL)
THEME: AUTANT DE SCHIZOPHRENIES QUE DE SCHIZOPHRENES
Mardi 5 avril 2016
Le Dr Brigitte Milhau sur LCI reçoit:
le Dr Guillaume Fond (Hôpital universitaire Henri Mondor et co-coordinateur des Centres Experts FondaMental schizophrénie)
et Florent Babillote (auteur d'Obscure-Clarté Schizophrénia).
Cliquer ici pour voir la vidéo
NB: sur la même page web "youtube" vous pouvez visionner d'autres videos
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RECHERCHE: BUDGET EN HAUSSE DE % EN |
07/04/2016 |
Article sélectionné par Jean-Claude
Le budget alloué à la recherche française sera bien augmenté de 20% en 2017
A l'occasion des 10 ans de l'Agence Nationale de la Recherche, le Secrétaire d'Etat Thierry Mandon a confirmé l'annonce qu'avait faite le président François Hollande à la mi-mars 2016 lors de l'inauguration de l'Institut Pierre-Gilles de Gennes.
C'est le mot omniprésent dans les débats au sujet de la recherche, particulièrement en France. Doté d'un budget annuel d'environ 500 millions d'euros, l'agence opératrice chargée par l'État des 2/3 des programmes d'investissements d'avenir est la principale source de financement pour la recherche française, en particulier pour les jeunes chercheurs (entre 30 et 40 ans, en moyenne). Cette agence, l'ANR (pour Agence Nationale pour la Recherche), a récemment fêté ses 10 ans et pour l'occasion a organisé une conférence (à laquelle Sciences et Avenir a assisté, à la Maison de la Chimie à Paris) réunissant chercheurs, dirigeants d'institution de recherche et membres du gouvernement, pour faire état du statut de la recherche en France et de sa place dans l'avenir.
D'après son PDG Michael Matloz, l'ANR finance "environ 160 projets de jeunes chercheurs par an, dont 30% sont menés par des jeunes chercheuses (soit à peu près le taux de femmes dans le monde de la recherche)". Chaque projet validé par l'ANR est généralement financé à hauteur de 150.000 € et, par la suite, profite d'un "cercle vertueux" où sont potentiellement offerts des financements indépendants extérieurs d'organismes privés (des "business angels", comme l'EBAN) et des possibilités de labellisation. Mais pour arriver au niveau supérieur et vraiment lancer sa carrière de jeune chercheur, il faut souvent passer à l'internationale - et "le financement en Europe est souvent très difficile" remarque Yves Fort, le Directeur des opérations scientifiques de l'ANR. En effet, seuls 2,5% des projets sélectionnés par l'ANR (et uniquement 20% des projets proposés à l'ANR se retrouvent validés et financés) sont validés par la grande instance de l'ERC (European Research Council). Ainsi, le plus souvent, le chercheur ne s'efforce pas de trouver des idées nouvelles à développer, mais des financements pour continuer à les mener à bien. "C'est impératif de croire en son projet, de savoir bien le vendre. C’est une bonne partie du métier de chercheur", témoigne l'embryologiste au CNRS, Laurent Kodjabachian. "C’est un sacerdoce d’être chercheur, il faut avoir la foi", ajoute Yves Fort. Alors comment subvenir aux besoins et nécessités des JCJC (jeunes chercheurs-jeunes chercheuses, comme les appelle l'ANR), malgré tout, à l'avenir ?
"Une meilleure logique de parcours de financement pour mieux accompagner les chercheurs"
L'annonce a été faite par Thierry Mandon, Secrétaire d'État à la Recherche : le budget alloué à la recherche française en 2017 sera doté d'une augmentation de 20%. Il confirmait en cela ce qu'avait déjà dit François Hollande le 15 mars 2016 lors de l'inauguration de l'Institut Pierre-Gilles de Gennes, à Paris. "Nous avons besoin de gens qui ont des regards neufs sur les nouvelles problématiques présentées par la société actuelle" renchérit-il. Mais est-ce suffisant ? Non, selon le Président de l'Académie des Sciences, Bernard Meunier : "Il faut une meilleure logique de parcours de financement pour mieux accompagner les chercheurs", clame ce pourfendeur des excès de paperasserie, qui "diminuent le temps consacré à la recherche par les chercheurs". Autrement dit, plus de communication et plus de temps passé en laboratoire sont à préconiser. En outre, il paraît nécessaire "d'accompagner les réussites, mais aussi pouvoir gérer les échecs", déclare Anne Peyroche de la Direction générale de la science, au CNRS. Un besoin de "mentoring" serait donc des plus nécessaires à l'avenir, pour rattraper un "décalage avec le Royaume-Uni et les Pays-Bas", peut-être plus qu'un simple financement augmenté.
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SOINS ET RECHERCHE EN PSYCHIATRIE: POSITION DE L'UNAFAM |
21/03/2016 |
Article sélectionné par Jean-Claude
LES POSITIONS DE L'UNAFAM EN MATIERE DE SOINS ET DE RECHERCHE EN PSYCHIATRIE ET SANTE MENTALE
Alors que les GHT [Groupements Hospitaliers de Territoire] et les CPT [Communautés Psychiatriques de Territoire] vont être créés, l’Unafam présente ici ses positions concernant les activités de soins et de recherche dans la filière psychiatrie et santé mentale.
Elle souhaite que celles-ci soient prises en compte tant dans le projet médical partagé du GHT que dans le projet territorial de santé mentale dans lequel devra s’intégrer le projet médical partagé.
Béatrice BORREL
Présidente de l’UNAFAM
LES RAISONS DE CES POSTIONS :
- Parce que 5 des pathologies les plus préoccupantes au 21ème siècle concernent la psychiatrie
- Parce que ces pathologies sont l’une des premières causes d’invalidité et d’arrêts maladie de longue durée
- Parce les moyens mis en oeuvre pour répondre à cet enjeu de société et de santé publique n’ont pas permis d’atteindre les objectifs fixés par le dernier plan psychiatrie santé mentale
- Parce que les réponses à apporter, multiples et complexes, demandent synergie et complémentarité de l’ensemble des acteurs des secteurs sanitaire, social et médicosocial.
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LA 17ème SEMAINE DU CERVEAU EST LANCEE |
16/03/2016 |
Article séléectionné par Jean-Claude
In Sciences et Avenir Santé
le 15-03-2016
Cerveau : "En trente ans, on a changé le monde !"
Par Elena Sender
La 17e semaine du cerveau est lancée. Jean-Antoine Girault, président de la Société des neurosciences, dresse le bilan de 30 ans de recherche
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PSYCHIATRIE: LA SCHIZOPHRENIE STIGMATISEE DANS LES MEDIAS |
14/02/2016 |
Article sélectionné par Jean-Claude
In INFIRMIERS.com
01.02.16
Avec l'aimable autorisation de APMnews http://www.apmnews.com/ (site internet) http://www.unafam.info/site/img/APM_news.jpg (LOGO)
La schizophrénie stigmatisée dans les médias
La représentation de la schizophrénie dans les médias passe par "des stéréotypes porteurs de sur-stigmatisation", selon une étude publiée par l'association Promesses, co-fondatrice du Collectif Schizophrénies, à l'occasion du 14ème congrès de l'Encéphale à Paris.

Les personnes atteintes de schizophrénie qui sont traitées ne sont absolument pas plus violentes que le reste de la population générale (4%)
L'étude, qui a été commandée à l'Observatoire société et consommation (Obsoco), avec le soutien des groupes pharmaceutiques Sanofi et Ipsen, a été conduite de mars à septembre 2015 avec les outils de la linguistique et de la sociologie. Un corpus de 1,3 million d'articles issus d'un échantillon représentatif de la presse écrite de 2011 à 2015 (Le Monde, Le Figaro, La Croix, Libération, Le Parisien, L'Express, Le Point, Paris Match) a été analysé avec le logiciel Alceste, afin de vérifier si la stigmatisation médiatique dénoncée par les conférences et études internationales dans l'usage du terme schizophrénie vaut aussi pour la France , a indiqué l'association PromesseS dans un communiqué de presse.
Le traitement médiatique français apparaît comme, voire plus qu'ailleurs, insuffisant et inadapté : sur 2 038 articles mentionnant la maladie sur cette période, seulement 1% y sont vraiment consacrés. Et lorsque le terme est mentionné, seulement quatre articles sur 10 y font référence pour désigner véritablement la maladie dans son sens médical . L'étude note également la corrélation constante du terme avec des idées fausses, comme la violence, le dédoublement ou l'absence d'espoir d'une guérison. La France se classe ainsi parmi les pays du monde qui stigmatisent le plus leurs patients atteints de schizophrénie , très loin derrière tous les grands pays européens, selon l'étude internationale Thornicroft de 2009, menée avec la Fédération mondiale de la psychiatrie, et à laquelle font référence l'association PromesseS et le Collectif Schizophrènes, créé en 2015.
Cette dérive française est qualifiée d' étonnante , alors que la schizophrénie touche une personne sur 100 en France (source Inserm), rappelle l'association, qui estime à 600 000 le nombre de malades en France, et entre trois millions et cinq millions le nombre de personnes concernées en comptant les parents et l'entourage immédiat.
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